Moments de vie

Trouver le chemin de sa propre détente : ceci n’est pas du développement personnel

Août est un mois nécessaire et attendu dans mon année. C’est celui de la pause et de la déconnexion, le véritable dépaysement pour repartir de plus belle en septembre. J’ai voulu lister en six points mes succès et mes ratés cet été pour trouver le véritable chemin de la détente.

Mes évasions estivales en six points : succès et échecs.

  1. Touriste dans sa propre ville

Nous devions attendre une semaine que mon mari termine son travail avant de nous envoler pour la Bulgarie. Alors, nous avons listé toutes nos envies de balades que nous ne pouvions pas faire dans l’année par manque de temps.

On s’est reposées de la chaleur sous les arbres du parc floral, bu un bon smoothie à l’hôtel Mahfouf voisin et surtout un soir on s’est enfin rendu au pied de la fameuse vasque olympique (visible jusqu’au 14 septembre prochain.)

2. Etre une aventurière des loisirs créatifs

J’ai trié tout mon matériel de couture et de broderie de mon bureau pour tomber sur la perle rare : une pochette de serviette de toilette Carré blanc que j’avais reçu en cadeau à Roland-Garros. Je me suis régalée à varier les techniques pour broder une balle de tennis et une raquette en hommage à Suzanne Lenglen. C’était un vrai plaisir car j’ai trouvé un excellent support en coton de qualité et la broderie permet beaucoup de liberté.

Mais ce fut beaucoup moins l’éclate avec la couture qui réclame beaucoup plus de rigueur et de précision. Je me suis lancée le défi de décorer mon borsalino d’une bande de tissu en liberty.

J’ai failli abandonner, sauvée in extremis par le pistolet à colle, efficace mais pas tip top. Par contre, j’ai adoré transmettre à ma fille comment tenir une aiguille pour broder des fraises comme me l’apprenait ma grand-mère à la caravane il y a trente ans.

3. Lire les séries d’été de la presse magazine française.

Je me suis mise une pression bien inutile à constituer une pile à lire parfaite de romans à lire au bord de la piscine avec des mésaventures avec le portail numérique des Bibliothèques de la ville de Paris. Mais j’ai sauvé la fin des vacances en téléchargeant le volume 2 de Successions écrit par Raphaëlle Bacqué et Vanessa Schneider qui est adapté d’une série d’été du Monde.

Dans Le Monde également, j’ai lu En croisière par Jessica Gourdon, envoyée spéciale sur un paquebot haut d’une dizaine d’étages reliant Barcelone, Marseille, la Grèce… Cette série de cinq épisodes est une étude sociologique passionnante qui détaille les ressorts de cette économie mondialisée en interviewant les passagers, le personnel sur les différentes manières de s’amuser malgré une telle masse de gens. Est-ce qu’en 2025, la croisière s’amuse t’elle toujours autant ?

J’ai beaucoup aimé également la série d’été signée Pascale Robert-Diard sur l’été 1945, il y a 80 ans qui relatait le retour à la vie entre recherches de déportés et dépêches sur des économies qui repartaient après guerre comme celle du cacao ou le lancement du magazine Elle par la magnétique Hélène Lazareff…

Le journal La vie fêtait également ses 80 ans en juillet et j’ai bien aimé lire l’article de Pascale Tournier sur le rôle des castors à Blois. Il se trouve que nous avons fait une visite naturaliste en famille sur la Loire début juin et que nous avons adoré l’expérience.

4. Regarder des programmes TV populaires et régressifs

Cet été , je me suis régalée à regarder Intervilles sur France 2, le fameux jeu populaire où deux villes françaises s’affrontent dans des jeux totalement loufoques dans une ambiance bon enfant. J’ai trouvé que Nagui (le producteur et animateur principal du jeu avec Bruno Guillon) maîtrisait bien son sujet. On sent qu’il a l’expérience des jeux télévisés.

Les deux anciennes Miss France Camille Cerf et Valérie Bègue encourageaient bien leurs équipes. Même si en 2025 c’est un peu gênant de regarder des gens se ridiculiser, déguisés en hot dog et se prendre un bon gadin, j’ai trouvé que c’était un bon divertissement populaire dont notre pays si fracturé a bien besoin en ce moment. Il y a même le maire de Coulanges les Nevers qui a dit que la victoire de sa ville à Intervilles, c’était la victoire de la diagonale du vide, référence à ces zones blanches sans population en France.

Dans le même genre, Netflix nous a régalé de la trilogie Camping de Fabien Onteniente avec l’inégalable Franck Dubosc alias Patrick Chirac. Même si la conception de l’amour et des rapports hommes /femmes de ces deux-là laissent à désirer dans leurs scénarios, on a passé un bon moment de divertissement avec les deux premiers opus.

5. Voir du pays

Il faut être vigilant même en vacances car il y a aussi des moments pesants comme attendre un sacré long moment dans un terminal d’aéroport ou passer toute la journée dans une voiture quand on déteste l’autoroute.

Mais voir du pays, s’ennuyer sont de très bons moments de détente. On s’est régalé à prendre le train bulgare pour rejoindre le village de notre grand-mère à travers des coins de nature avec des belles rivières impossibles à voir en voiture.

J’ai pris en photo ma lecture du moment car le train est définitivement très instagrammable. J’ai adoré visiter les gares ferroviaires en Bulgarie, prendre le bus entre Burgas et Sozopol et dépasser les voitures coincées dans les bouchons….

6. Colorier et dessiner des choses simples et mainstream

Je savais que ce loisir serait prioritaire durant mes vacances car il m’apporte la meilleure des évasions. Dessiner avec mes feutres de voyage sur du beau papier aquarelle ou Canson sur un balcon face à la mer à sept heures du matin à Sozopol, mon lieu de villégiature d’août depuis 2013.

Je dessine des choses très simples et vite reconnaissables que j’enregistre au cours de l’année sur Pinterest ou Instagram. J’ai besoin dessiné cet été des citrons, des figues mais j’ai aussi colorié le très bel album de coloriages de l’atelier Auderset que je vous recommande : de beaux versets et dessins inspirés de la Bible.

Alors certes, l’été touche à sa fin et les feuilles mortes d’automne ont sacrément investis l’espace des parcs parisiens. On ne retrouvera cette parenthèse enchantée que dans 365 jours mais il ets toujours possible de faire perdurer cet état d’esprit en gardant en tête tous ces petits bonheurs simples qui mènent à notre détente au quotidien.

Bullet journal·Moments de vie

Se renouveller en 2025 pour réaliser un nouveau bullet journal

Qui dit nouvelle année, dit nouveau bullet journal. J’en réalise un par an depuis 2020 et pourtant cette année, je me suis posée la question d’en recommencer un ou non.

C’est un loisir qui m’apporte beaucoup de détente et de créativité mais c’est aussi une pratique artistique qui demande beaucoup de perfectionnisme.

Ces six carnets commencent à prendre de la place dans mon bureau de ministre. J’ai bien en tête une scène du film Monsieur Aznavour où le chanteur stocke des centaines de cahiers rouges dans lesquels il a compilé ses 1200 chansons sur une étagère. Mais je sais très bien que les années suivantes, je ne relis pas mes carnets, je tourne la page.

Alors cette année, j’ai décidé que ce carnet ferait la part belle aux collages et au dessin.

J’en ai un peu assez de collecter et coller des images rectangulaires que je glane dans les magazines.

J’ai envie de créer une oeuvre d’art novatrice ! Alors je m’appuie sur les bonnes idées du challenge numérique #Februllage que j’ai découvert l’an dernier.

Le hic avec le bullet journal et ce genre de challenges de collages, c’est le degré d’exigence et le rythme assez soutenu auquel il faut s’astreindre. J’ai même vu sur Instagram une créatrice qui préparait tout un classeur à l’avance avec ses éléments pour chaque mot du jour.

Cette année, j’ai décidé d’associer chaque mois de l’année à un collage un peu éclectique.

Je continuerai à compiler les moments de vie du mois car ils sont si importants pour notre mémoire familiale. On fait de moins en mois d’albums photos papier alors pourquoi pas un carnet par année.

Je fais une sélection rigoureuse des visuels qui attirent mon oeil en fonction des expositions marquantes à Paris, un livre ou un film dont j’ai envie de garder souvenir, des endroits de France ou d’Europe où j’ai envie de me rendre et de le planifier dans un carnet.

Ne jamais être à court de lectures ou de bons films à voir dans la semaine est aussi ma priorité. Je n’aime pas les applications pour smartphones pour tenir des piles à lire alors je le fais dans mon #bujo.

Comme je ne dispose plus d’autant de temps que quand j’étais étudiante, je note les lieux de Paris que j’ai envie de visiter ou qui m’éblouissent toujours alors que je vis ici depuis vingt ans cette année : Ile Saint-Louis en tête.

J’ai divisé mon carnet de 180 pages en dix doubles pages par mois dans lesquels il y a des pages récurrentes comme celles ci-dessous. Mais je reconnais que je me retrouve souvent à me creuser la tête pour trouver des idées.

En janvier, j’ai pris des notes sur le mythique Orient express et les adieux à la scène de Sylvie Vartan. La légende dit que Sylvie Vartan a fui la Bulgarie avec sa famille à bord de ce train dans les années 1950.

En fin d’année 2025, je ferai le bilan de ce projet collages et dessins dans mon bullet journal.

Retrouvez-ici mes précédents articles consacrés aux collages et aux dessins.

Cet hiver, j’ai testé le challenge des collages Februllage, découvert sur les réseaux sociaux

-Se souvenir de ses moments de vie grâce aux collages dans son #bujo

Moments de vie

Une année 2024 sur les rotules mais avec de beaux moments de vie…


Cette année 2024 est passée à la vitesse de l’éclair et il est déjà temps d’en faire un bilan.

J’ai enfin visité le stade de Roland-Garros après vingt ans de vie à Paris

Elle n’a pas été de tout repos pour nous, entre mauvaises conditions météo à Paris, forte charge mentale professionnelle à cause de l’inflation mondiale. Mais nous sommes reconnaissants à Dieu pour toutes les belles choses qui nous sont arrivées cette année et la manière dont il nous a protégé au quotidien.

2023 s’était terminée par un super séjour très ensoleillé à Marseille.

En janvier, nous avons eu la joie et la surprise de retrouver notre amie Tricia sur un marché de Noël à Saint-Denis en rendant visite à nos cousins.En février, j’ai été terrassée par la grippe pendant trois semaines mais nous avons trouvé une église formidable du côté de République.

En mars, nous sommes allés à Boulogne sur mer pour visiter le plus grand aquarium d’Europe et nous avons assisté au superbe concert de Sébastien Corn au temple du Marais. Avril a été un mois ensoleillé entre festival du livre Paris et lancement de la Bible de méditation par les femmes d’Afrique.

Le fameux escalier Renaissance du château de Fontainebleau

En mai, on a enfin visité le somptueux château de Fontainebleau et ses 1500 pièces. Puis avec nos copains Marion et Juju, on a filé à Moret sur Loing, un superbe village médiéval que l’on voulait visiter depuis longtemps.

En juin, j’ai vécu une journée de rêve avec deux collègues de travail pour la demi-finale femmes du tournoi de Roland Garros. La France a connu une vraie tension politique avec la dissolution de l’Assemblée nationale le 9 juin dernier. Heureusement, on a eu de chouettes fêtes de famille pour penser à autre chose.

En juillet, on a visité Disneyland Paris en famille sous 34 degrés mais c’était un bon souvenir. En août, nous avons passés nos traditionnelles vacances en Bulgarie en retrouvant tous les spots qu’ on aime visiter pour se ressourcer.

En septembre, ma fille et moi avons fait escale quelques jours à Valence, la ville de la gastronomie. Ma fille a commencé le théâtre le samedi matin dans un endroit chouette de la ville.

En octobre, on a fêté en famille nos dix ans de mariage dans le nouveau restaurant Ladurée du bois de Vincennes.

En novembre, on a mis à profit les ponts et les promos SNCF pour visiter Lille à la Toussaint et Deauville-Trouville le 11 novembre.

En 2024, j’ai aimé aller au cinéma pour Un p’tit truc en plus tourné à Valence et dans le Vercors. Les retrouvailles entre deux frères que tout oppose du film En fanfare m’a beaucoup émue. Je me suis régalée avec les chansons de Monsieur Aznavour, le chanteur favori de Mamie Annette.

Côté séries, j’ai aimé patienter avant les vacances de Noël avec l’épisode lunaire de Fais pas ci, Fais pas ça, sur France 2 et la saison 6 de Virgin River sur Netflix.

J’ai lu cette année trois romans marquants sans sortir de ma zone de confort. Sans surprise, il s’agit d’une biographie romancée d’Andrée Imbert, l’adorable cuisinière des Kennedy. J’aime énormément les éditions des Escales donc j’ai aussi lu Hôtel Nantucket, le meilleur des romans d’été pour se préparer aux vacances. Et enfin Retrouvailles à la librairie de Wellfleet grâce à Margaux de la Kube. Un superbe roman qui parle d’adoption et de retrouvailles vingt ans plus tard.

© Cyril Moreau/Bestimage

L’actualité de 2024 a marqué l’Histoire avec la cérémonie des JO de Paris 2024, l’ouverture du procès des viols de Mazan à Avignon où une femme extraordinaire a fait de son épreuve un combat et enfin la réouverture historique de Notre Dame de Paris après cinq années de travaux.

Côté artistique, Taylor Swift a conquit la France avec des concerts à guichets fermés à Paris et à Lyon en mai dernier. Et en octobre, la France s’est réveillée inconsolable d’apprendre la mort de Michel Blanc début octobre.

Fin décembre, je vais quitter le poste que j’ai occupé pendant trois ans et demie dans une maison d’édition. Je quitte des collègues et un quartier formidable, celui de Vic dans la Boum : Panthéon/Luxembourg. Mais le nouveau lieu de travail que je rejoins est tout aussi prometteur. Affaire à suivre…

Moments de vie

Noëls enfant, ces souvenirs qui comptent #nostalgie

Cette semaine, j’ai lu la newsletter bien inspirée d’une journaliste dont j’aime beaucoup la plume : Géraldine Dormoy.

Elle parlait de l’esprit de Noël avec une anecdote familiale qui m’a beaucoup parlé :

« Lorsque je ferme les yeux et que je plonge en mon for intérieur pour savoir ce que Noël m’évoque, la première image qui me vient est celle de moi, petite fille, en train de jouer avec ma sœur et ma cousine à l’Hippos Gloutons, un jeu de société qui fit fureur dans les années 80. On a moins de 10 ans, on est assises en robes et en collants clairs sur le parquet de l’appartement des grands-parents. On se déchaîne sur la manette devant nous, qui permet à notre hippo d’attraper le max de billes blanches. On joue frénétiquement, à en perdre haleine, on tape si fort sur la manette en plastique que l’une d’elles se brise au cours de la soirée. On s’en fout, on est trois, il y a quatre hippos, on peut continuer les parties, à peine moins fort. On joue dans l’entrée, au pied du sapin ruisselant de guirlandes scintillantes. L’appartement n’est pas grand, les parents n’en peuvent plus du boucan. Surexcitées, on ne les entend pas. Voilà, je crois qu’au fond, c’est encore ça pour moi Noël : l’ivresse d’un soir pas comme les autres, en famille, avec des cadeaux, de la gaité et une déco qui brille «  Voici le lien pour retrouver l’intégralité de son article.

Je suis persuadée que les jouets et les jeux de société ont une vraie importante dans la fabrication de nos souvenirs d’enfance liés à Noël. J’espère que ma fille se souviendra de ce Noël 2024 où elle participait à distribuer les pions de nos parties à la chaîne du jeu Azul.

Moi, je me souviens d’un Noël à Privas chez mes grands-parents paternels. Je devais avoir sept ou huit ans. J’avais pas bien aimé mon année scolaire de CP car elle s’est déroulée à Clermont-Ferrand et je n’aimais alors que Valence. Ce Noël en CE1 avait un goût heureux de retour à la normale.

On y retrouvait nos cousins marseillais qui ont cinq et sept ans de plus que moi. Ils connaissaient des blagues bêtes des Guignols de l’info, des Nuls, des Inconnus que l’on ne comprenait pas toujours mais comme on les admirait ….

Mon plus beau souvenir de Noël, c’est de voir ma famille réunie , les oncles et les tantes, les grands-parents, les cousins en train de jouer une partie de Mille-bornes totalement frénétique en attendant le début du repas. D’autant plus que ce n’était pas dans leurs habitudes de s’exciter comme des enfants à un jeu de société. Je ne connaissais pas vraiment ce jeu mais je l’ai aimé instantanément.

Puis le repas s’est passé et tout le monde est allé se faire une beauté dans la salle de bains en attendant la remise des cadeaux. Mon grand-père nous a même partagé un peu de son eau de Cologne car le soir de Noël était un soir pas comme les autres…

Et vous quels sont vos plus beaux souvenirs d’enfance en lien avec Noël ?

Lifestyle·Moments de vie

Deauville-Trouville, une destination intemporelle pour moi en hiver

J’ai toujours bien aimé aller à Deauville-Trouville en novembre. Cette petite tradition me vient de ma grand-mère Annette qui habitait Rouen.

Elle aimait prendre sa voiture même si ce n’était pas la porte à côté pour nous emmener sur la journée dans le Calvados. On allait déjeuner à sa brasserie favorite Les vapeurs parce que c’est l’un des mois idéaux pour les moules-frites.

Pour le week-end du 11 novembre, on a profité d’une superbe promotion des trains Nomad’ de la SNCF : 40 euros par adulte AR du samedi matin très tôt au dimanche vers 16 heures.

Trouver un hôtel familial avec une localisation idéale pour profiter au max de la plage.

On avait décidé de passer aussi une nuit à l’hôtel des Embruns situé à Trouville, juste en face du casino. La localisation était vraiment top.

Il se trouve que j’ai retrouvé une carte postale de la piscine de Trouville écrite en 1955 par ma grand-mère à sa famille. C’était un vrai dessin animé vivant d’observer les familles sur la plage depuis notre fenêtre tôt le matin comme la nuit tombée. C’était évident que les gens voulaient profiter un max de la plage. Le temps était nuageux mais sans pluie ni vent.

Aller au musée de Trouville pour connaître son histoire et contempler le meilleur des panoramas

C’est la première fois que nous visitions ce petit musée municipal et ce fut une belle découverte. Le billet d’entrée est à 8 euros par adulte et la vue sur la plage qui surplombe l’hôtel des Roches noires est inoubliable. J’ai beaucoup aimé l’étage qui raconte l’histoire de Trouville, une des premières stations balnéaires du pays.

Le musée-villa Montebello, 64 rue du général Leclerc à Trouville.

Le samedi soir, nous avons eu la mauvaise surprise de découvrir que beaucoup de restaurants à Trouville étaient complets en ce long week-end du 11 novembre. Mais nous avons tout de même trouvé refuge dans une chouette crêperie familiale : Pierre et le loup dans une rue piétonne de Trouville.

Le lendemain, nous avons rejoint Deauville par le pont des Belges en passant par le fameux marché du dimanche de Trouville qui longe la Touques. L’hôtel Normandy est toujours aussi beau avec ses épis faitiers en terre cuite. Ils représentent souvent des chevaux qui sont à l’honneur à Deauville mais aussi des colombes ou bien des hiboux.

On a rejoint la plage par le chemin qu’utilisent les festivaliers en septembre chaque année pour le festival du film américain de Deauville. La plage de Deauville est vraiment impressionnante avec ses planches centenaires et ses expos photo grandeur nature.

Une virée de cinéma sur les planches centenaires de Deauville

Le bar de la plage est une institution. Comme c’était l’hiver, les mythiques parasols de couleur avaient été retirés de la plage. Ils apportent un beau décor de carte postale au lieu mais heureusement la cabine californienne de secouriste était bien conservée. On n’a pas manqué d’y faire une photo.

Enfin, je vous recommande l’office de tourisme de Deauville si vous voulez faire de beaux cadeaux : c’est une boutique de souvenirs de grande qualité.

On a bien profité de ce week-end à la plage en savourant au max les balades dans le sable avec pelles et seaux. Les chateaux de sable sont de mise même en novembre !

Retrouvez-ici mes précédents carnets de voyage urbains pour des idées de sorties en famille à deux heures de Paris !

Le Vieux-Lille en automne, un voyage à remonter le temps

Découvrir Boulogne sur mer et son aquarium hors normes, le plus grand d’Europe.

Moments de vie

Un mois de juillet aux airs olympiques…

Début juillet, j’ai vécu un moment unique car j’ai enfin rencontré ma nièce qui vit en Australie.

Elle a déjà un an et elle est jolie comme un coeur, elle est espiègle comme il faut. On a fait une chouette fête de famille avec ma tante et mes cousins marseillais chez mes parents en Ardèche.

J’ai lu tous les romans d’Elin Hilderbrand avant même de partir en vacances. Ils m’ont bien aidé à prendre mon mal en patience durant les trajets en RER. Mon imaginaire a alors divagué du côté de Nantucket…

Cette année, elle a publié Hôtel Nantucket, un roman plus profond qu’il n’y parait. Côté lecture, ce mois de juillet a été formidable car j’ai lu au moins cinq livres et j’ai inauguré sur les réseaux sociaux, une nouvelle rubrique qui s’appelle Emballée par la couv’.

Je travaille dans une maison d’édition depuis trois ans, avant j’étais libraire à la FNAC, au musée du Louvre. J’ai voulu partager avec vous les couvertures de livres qui draguent mon œil sur les tables de librairies ou sur les réseaux sociaux. J’ai déjà trouvé le prochain livre qui sera analysé fin août…

Nous avons également vécu en famille une journée extraordinaire au parc Disneyland Paris. J’avais beaucoup d’aprioris sur ce parc à thèmes car ce n’était pas du tout la tasse de thé dans mes parents quand j’étais petite.

J’ai vraiment aimé cette expérience. Disney ce n’est pas donné mais compte tenu de la beauté du lieu et du soin apporté à chaque détail vestimentaire, architectural, cela est mérité. Il faut dire que j’avais lu quelques jours auparavant la biographie de Walt Disney, que m’a généreusement fourni les éditions Perrin. Le meilleur moyen de s’imprégner de cet univers proche de celui de Wes Anderson.

Et enfin, nous avons vécu un moment historique avec la cérémonie d’ouverture des jeux olympiques. Cette fête populaire dans Paris m’a fait un bien fou. C’était beau de voir ces athlètes de tous ces pays déambuler sur la Seine sous la pluie pour vivre un moment de communion avec le public.

C’est l‘article le moins original que j’ai écrit et pourtant il a rencontré son public sur LinkedIn.

Je réunis mes idées et mes souvenirs de cette quinzaine olympique exceptionnelle pour me préparer à écrire un autre article aussi peu original sur la cérémonie de cloture. Je vous avoue que les prestations de Zidane et Jamel au Stade de France, Lady Gaga reprenant Mon truc en plumes et Aya Nakamura associée à la Garde républicaine m’ont particulièrement plu.

Je les regarde en boucle tellement c’était bien, et je ne peux m’empêcher de penser à ma grand-mère Annette qui aimait tant Paris et Aznavour. J’ai eu un petit moment de grâce dans mon quartier populaire du Val de Marne. Il y avait un groupe d’adolescentes africaines qui chantait Aznavour en pensant que c’était Aya : « Je changerai mon vocabulaire pour te plaire dans la langue de Molière « . For me, formidable, 1963.

Moments de vie

Mes moments de vie en mai, juin et juillet

Embarquée par mes collègues pour faire un micro-trottoir place Saint-Sulpice, 6eme arrondissement

J’aime tellement écrire cette rubrique mais soyons réalistes. Ces trois derniers mois, j’ai été submergée au travail par un tourbillon de commandes de livres post covid au travail.

Tout le monde s’est réveillé pensant l’épidémie derrière nous (bas les masques dans les transports français) et j’ai enchaîné les déclarations de douane compliquées à cause du Brexit, jouer au chat et à la souris avec les transporteurs…

Heureusement, pour ne pas devenir dingo, j’ai vécu de chouettes moments en famille, à aller nous balader dans différents coins de France. Je vous raconte cela mois par mois.

Mai, attentifs aux autres grâce au compte Insta Merci à un inconnu

En mai, j’ai accueilli Keysha, une stagiaire de DUT métiers du livre, rencontrée sur notre stand au festival du livre de Paris. C’était vraiment drôle car je me suis revue quinze ans en arrière dans cette même formation.

Aussi, j’ai découvert sur Insta le compte @Merci à un inconnu et j’ai eu de nombreuses occasions d’expérimenter leurs anecdotes qui sont devenues des conseils pratiques pour aider les autres.

Par exemple, je ramasse la carte professionnelle d’un policier qui la fait tomber parmi le torrent de personnes qui prennent l’escalator du RER A à Gare de Lyon.

Heureusement que j’ai crié le nom lu sur la carte sinon il allait monter dans le RER sans pouvoir le rattraper. J’ai aussi pu aider une dame qui s’est fait un beau combo entorse-malaise vagal au parc de Saint-Germain en Laye… Aider autrui rend heureux.

Du côté du blog, je me suis régalée à écrire deux articles : Vu en librairies, à la découverte du Renard doré, rue de Jussieu et de présenter mon bureau à la manière d’une rubrique de Paris-Match

Juin : Un week-end à Marseille, un avant-goût des vacances bien agréable

En juin, direction Marseille après un gros manque de quatre années sans visite. Nous avons été logés comme des princes par Matthieu et Roxane, mes cousins dans le quartier de la Valbarelle, pas loin des plages du Prado et de la place Castellane.

Nous avons suivi notre tour touristique habituel le long de la Corniche Kennedy pour atterrir à notre rooftop de prédilection : Vapiano aux terrasses du port. Vue imprenable sur le port de la Joliette et des docks.

C’est peu dire que ce bon week-end ressourçant m’a aidé à recharger mes batteries. En juin, nous préparons l’office d’octobre pour présenter les livres qui seront en vente à Noël en librairies. C’est l’un des aspects les plus passionnants de mon métier. Je vous raconterai ce que sont les offices en librairies dans un prochain article.

Sinon, je me suis régalée avec la série HPI sur TF1, un vrai bon moment de télévision avec du romantisme et de la complicité !

Juillet, retrouver les cousins autour de Mamie Evelyne, 90 ans

A l’approche de la fin de l’année, j’étais très nostalgique de cette première année d’école en toute petite section. Mais j’ai été bien récompensée par tous nos efforts quand la nounou était malade, la classe était fermée à cause des cas contacts…

La kermesse du centre de loisirs a été un moment magique de communion avec des chorégraphies des enfants sur Soprano et les Jackson five. Trois ans sans fête de fin d’année dans cette école à cause de la pandémie.

Juillet a été un mois historiquement chaud et nous avons eu beaucoup de chance d’être relativement épargné dans notre fantastique appartement. Je pense beaucoup à tous ceux qui vivent dans une chambre de bonne sous les toits comme c’était mon cas pendant mes études.

Nous avons pu profiter d’un excellent week-end à la campagne en famille sur le plateau ardéchois pour fêter les 90 ans de ma grand-mère et revoir toute la famille. On a joué avec Azul avec délectation le soir.

J’ai mis mon cerveau progressivement en mode vacances même si le mois de juillet a été bien chargé professionnellement. Je suis un peu sorti de ma zone de confort avec une lecture de roman policier Angie ! et j’ai retrouver mes vieux travers estivaux : dessiner des piscines et des cocktails colorés dans mon bujo…

D’ici quelques jours, le blog va progressivement se caler à l’heure bulgare (une heure de décalage horaire) comme nous partons lundi depuis Beauvais en Bulgarie, ma patrie par alliance depuis bientôt dix ans.

J’embarque dans ma valise de bons romans dont j’ai grand hâte de vous parler ici…

Moments de vie

Un mois d’avril, inspirant pour le blog

Je ne sais pas si c’est l’effet de mon anniversaire, mais j’observe que je suis particulièrement prolixe et prolifique ici chaque année en avril. Comme en témoigne, ce coup de rétroviseur en avril 2021 !

Il faut dire que j’adore la tradition des poissons d’avril à l’école depuis le CE2 au moins. J’ai voulu chercher le sens de cette tradition qui remonte au Moyen-Age en Europe et qui a un héritage chrétien plus ou moins direct.

Pendant le Carême, on jouait la frugalité en mangeant des poissons. Partie sur ma lancée, j’ai aussi investigué la tradition des œufs et du lapin de Pâques, pas si profane ni marketing que cela.

J’ai trouvé cette chouette illustration de carpe koi dans une rue du 5eme arrondissement en rentrant du travail : elle ornait la vitrine d’un restaurant japonais.

Puis je suis retournée au cinéma dans ma ville de Fontenay sous Bois au Kosmos, cinéma municipal qui propose des places pour 6€ (une aubaine quand on sait qu’une place dans un multiplexe coûte bien 15€ en moyenne).

Je me suis régalée avec ce film magistral : Notre-Dame brûle de Jean-Jacques Annaud.

Il est sûr qu’il rejoindra ma vidéothèque quand il sortira en DVD. C’est une œuvre qui appartient à tout le monde et qui me parle personnellement : j’ai vécu deux ans sur l’île Saint-Louis, j’ai étudié l’art médiéval à l’école du Louvre.

Grâce à un exceptionnel esprit d’équipe relevant du miracle, un drame international qui a pu être évité. Un matin en allant travailler, j’ai vu ce logo sur une camionnette qui propose des services anti-incendie !.

J’ai reçu en service de presse ce livre A la découverte du Bible journaling d’Andrea Naomie que je considère comme le manifeste de la discipline. Je me suis régalée à concevoir un petit atelier à faire chez vous et à télécharger ici : atelier-dessiner-paques

Puis, il y a eu Pâques, le 17 avril cette année. Quelle joie de fêter cette fête que j’aime tant sans restrictions géographiques, ni masque.

J’ai assisté à un très beau baptême d’adulte. Une jeune femme, Ludivine, a témoigné de la manière dont Jésus a calmé ses angoisses et l’a délivrée de pensées suicidaires.

Elle cherchait sa voie dans les livres de new age et cela lui a apporté une spiritualité très sombre, qui enchaîne et qui mène au désespoir. Son déclic a eu lieu pendant le grand confinement. Si vous voulez prendre vos distances avec ces pratiques occultes, voici une vidéo conçue par une équipe de pasteurs. Dieu tend toujours la main quand on est dans la mouise.

Et puis le week-end du 23 avril (celui de mon anniversaire), j’ai eu la chance de retourner vendre des livres au festival du livre au Grand palais éphémère.

C’était une très belle fête dans un très bel endroit avec des rencontres auteurs de qualité, du people et des flâneries sur différents stands que je suis tout au long de l’année sur Instagram : Eyrolles, Charleston, L’école des loisirs

Mais quelle peine de voir autant de livres qui, sous-couvert de développement personnel, proposent aux gens de tomber dans des pièges nocifs pour l’âme. J’ai volontairement choisi une photo pas très réussie pour ne pas valoriser ce type de publications.

Et maintenant, place au mois de mai, j’ai plein d’idées d’articles pour le blog : tester un glacier ardéchois au pied du Panthéon, vous faire découvrir une librairie jeunesse qui cartonne dans le 5eme arrondissement…

La devanture de la librairie Le renard doré, rue de Jussieu dans le 5eme arrondissement de Paris

Retrouvez-ici mes derniers articles :

Sister soul, la biographie d’Aretha Franklin qui montre la grâce accordée aux mauvais petits canards

-Stromae en dix coups d’éclats

-Demain j’irai mieux, la louange inspirée d’Andrée Grise.

Moments de vie

Commencer 2022… par un bilan de 2021

Quand je regarde dans le rétroviseur de 2021, l’année a été celle des couvre-feu, des restrictions de déplacements entre janvier et mai mais aussi quelle année intense pour nous malgré tout.

En janvier, nous commencions l’année dans une nouvelle ville où l’on entend le chant des oiseaux et on admire les couchers de soleil en mode panorama.

En février, notre petite fille a fêté ses deux ans une semaine après d’harassants travaux de rénovation de notre nouvel appartement qui a duré un mois mais quel résultat !

En mars, le mot d’ordre était quarantaine car nous avons été touchés par le variant anglais. En fin de mois, le gouvernement français nous a fait un très mauvais poisson d’avril avec l’annonce d’empêcher les parents de confier les enfants aux assistantes maternelles. Heureux rétropédalage !

En avril, j’ai vraiment profité de mes vacances de Pâques avec mon mari en télétravail. Nous avons vécu un chouette pique-nique au jardin du Luxembourg malgré les terrasses vides qui rendaient les rues de Paris sinistres malgré le printemps naissant. Mais haut les cœurs !

En mai, nous avons foncé sur le site de la Sncf pour organiser un week-end en famille à Deauville-Trouville pour le week-end de Pentecôte. Toute l’Ile de France avait eu la même idée mais nous étions heureux malgré la foule, la pluie et la chambre d’hôtel un peu rudimentaire. A nous les frites en terrasse et le manège en face de l’hôtel Normandy !

Fin juin, l’été jouait les abonnés absents mais on s’est bien régalé avec nos amis visiter la Cité des enfants à la Villette. C’était bruyant et épuisant mais le souvenir en valait le coup !

En juillet, j’ai commencé un nouveau boulot, toujours dans les métiers du livre mais au service d’une maison d’édition après plus de dix années en librairie. Je surkiffe mon nouveau quartier de travail, théâtre des aventures de Emily in Paris dans notre rue.

En août, nous avons alterné nos vacances entre des coins déserts comme les valleuses de Fécamp et l’ hyper tourisme à Sozopol, Bulgarie. Agréables l’un comme l’autre.

En septembre, un vrai changement a eu lieu pour toute la famille : notre fille a intégré la classe des tout-petits avec douze camarades. C’est un régal de la voir s’épanouir dans une communauté scolaire aussi sympathique et dévouée. Soutien à toutes les équipes pédagogiques : enseignants et personnels de centre de loisirs qui se dévouent pour nos enfants dans ce vaste foutoir épidémique.

En octobre, nous avons vraiment profité d’un bel été indien après un été particulièrement morose.

En novembre, nous avons pris le train pour aller rendre visite à mon frère et ma belle-soeur à Bern en Suisse, le pays des ours !

En décembre, j’ai renoué avec de belles vacances de Noël à Valence en famille : jouer aux jeux de société, se promener au parc Jouvet et retrouver les cousins chez Mamie Evelyne comme avant…

Ce que je retiens de cette année, c’est que malgré toutes les restrictions et les privations bien reloues que nous avons vécu, l’année fut tout de même belle grâce à ces petits riens beaucoup plus importants que l’on veut bien le croire. Je les ai bien compilé dans mon bullet journal pour ne rien oublier et ce fut salutaire !

Retrouvez-ici la page maternité/parentalité que j’ai eu grand plaisir à commencer : Les aventures rocambolesques d’une mère moderne !

Moments de vie

Un mois de juin de toutes les transitions

Le mois de juin a commencé par de grands éclats de joie quand la directrice d’école nous a appelé pour nous annoncer que ma petite fille aurait sa place dans la classe des tout-petits en septembre prochain ! Des articles sur l’école vont suivre dans ce blog !

J’ai animé mon premier atelier créatif autour de la Bible avec une quinzaine de participants (gros succès) en équipe avec mon amie Martine, professeure d’arts plastiques en lycée.

Aucune discipline à faire avec des adultes, c’est reposant ! Encouragée par les remerciements et l’enthousiasme général, il est prévu que nous en organisions un autre à l’automne autour de la technique des collages.

Nous retrouvons notre ancien quartier Porte de Bagnolet, un mercredi de grande chaleur pour revoir l’ancienne nounou de ma fille, Nathalie et ses vieux potes de deux et trois ans : Léna et Martin. C’est un grand plaisir de se rendre compte que six mois plus tard, nous ne sommes pas tombés aux oubliettes !

Je me sens comme Sophie Marceau alias Vic Beretton dans la comédie iconique La boum quand je visite mon nouveau quartier de travail, situé juste derrière le Panthéon. Après dix années de librairie dans de superbes coins de Paris : le musée du Louvre, les Halles, le quai Voltaire…. je prends le chemin de l’édition et de la diffusion de livres, une belle transition dans ma carrière…

Copyright Mairie du 5eme arrondissement de Paris

Du coté du blog, je suis retournée avec plaisir au cinéma depuis presque un an de suspension. Le feel good movie Envole-moi m’a fait beaucoup de bien. J’ai découvert le jeu de comédien de Victor Belmondo, un talent à suivre. Je me sens utile quand j’apprends que la chronique du film a servi à ce qu’une amie et son petit-fils passent un chouette moment convivial ensemble.

Copyright Julien Panié

J’ai eu envie de raconter mon expérience de bénévolat dans la revue Lumière de la Mission évangélique envers les sans-logis et aussi réaliser un carnet de voyages de notre périple à Deauville-Trouville. J’ai lu Les promesses du printemps, un roman à l’eau de rose plus profond que je ne le pensais. Une bonne surprise !

Et surtout, je me suis régalée avec la seconde partie de la série Lupin sur Netflix avec notre Omar Sy national. Cette belle série, très bien jouée et scénarisée m’a aidée à oublier la pluie et l’élimination prématurée de l’équipe de France à l’Euro…

En fin de mois, nous recevons enfin nos copains lyonnais pour un superbe week-end de détente (très sportif avec deux jeunes explorateurs de deux ans révolus) pour aller visiter la Cité des sciences et le parc floral à Vincennes.

Juin a été pluvieux mais bien occupé !

Retrouvez-ici mes moments de vie chroniqués chaque mois dans ce blog :

Mai pluvieux mais heureux

Les contenus du mois d’avril

– Les contenus du mois de novembre