Cinéma·Lecture et autres challenges passionnants·Séries

Ces films, livres que j’ai lu, vu ou qui sont dans ma pile à livres et à films pour le dernier mois d’hiver

En janvier puis février, j’étais vraiment ravie car j’ai pu lire plein de livres et aller plusieurs fois au cinéma, retrouver des séries sur Netflix. Je me rends compte que lire dans l’après-midi pépouze dans mon lit pendant que ma fille regarde ses dessins animés est une sacrée bonne détente. Surtout quand le soleil est au rendez- vous dans mon appartement.

Voici un petit résumé de tout ce que j’ai vu ou lu en janvier et février :

Un parfait inconnu de James Mangold avec Timothy Chalamet, Elle Fanning…

Je ne connaissais pas du tout les chansons de Bob Dylan mais j’avais adoré l’histoire de Johnny Cash dans Walk the line que je ne connaissais pas non plus.

Johnny Cash était un chanteur de country. Bob Dylan a révolutionné la musique folk ainsi que Joan Baez. J’ai aimé suivre leur carrière à Greenwich village, ce quartier bohème de New York dans les années 1960. Ils parcouraient ensemble les festivals de musique folk comme Newport ou Monterey en Californie. Superbe prestation de notre cher Timmy Chalamet.

J’aime énormément les biopics de chanteurs : Monsieur Aznavour, Aline… car je trouve qu’ils savent montrer grâce à la magie du cinéma le moment de grâce quand une chanson marque un tournant dans la carrière d’un artiste car elle a touché au bon moment le public.

C’est d’ailleurs le cas de La Maritza, cette chanson mythique de Sylvie Vartan, amie de Bob Dylan dans les années 1960. A quand un biopic consacré à Sylvie ?

Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan, Roland Perez, éditions Les escales.

J’ai vraiment adoré ce petit roman qui se lit très vite. J’ai ri à gorge déployée avec Esther, la mère du narrateur qui est la véritable héroïne de cette histoire. Elle est souvent drôle malgré elle, elle ne doute de rien et sait mettre tout le monde dans sa poche en préparant des cigares au miel pour amadouer une assistante sociale et parvenir à ses fins.

C’est un superbe roman qui se déroule dans une famille juive séfarade avec sept enfants entassés dans un HLM parisien dans les années 1960. Le petit garçon qui a un pied bot trompe l’ennui de ne pas pouvoir aller à l’école en rêvant grâce aux chansons de Sylvie Vartan. J’ai embrayé avec Bonne fête des mères Papa qui cloture cette trilogie autobiographique. Esther y est toujours aussi époustouflante. Ce sont deux très beaux romans sur l’amour inconditionnel mais un peu encombrant d’une mère.

Série Frotter frotter avec Eye Haïdara, Emilie Caen, Karole Rocher, France 2, mini-série de quatre épisodes.

C’est une belle réussite du service public : France 2 d’avoir adapté cette histoire vraie : la grève illimitée de femmes de ménage d’un hôtel en une série humaniste très réussie. Toutes jouent très justement : les actrices connues comme les plus anonymes.

Eye Haïdara et Emilie Caen forment un duo efficace pour montrer cette aventure humaine exceptionnelle. Frotter frotter montre que les femmes de toutes conditions doivent encore se bagarrer pour que l’égalité soient respectées dans tous les métiers. Cela me rappelle la chouette chanson de Stromae, Santé sur les personnes qui ont des métiers un peu méprisés par les puissants.

Rosa, Rosa. Quand on fout le bordel, tu nettoies
Et toi, Albert. Quand on trinque, tu ramasses les verres
Céline (céli) ‘bataire (‘bataire). Toi, tu t’prends des vestes au vestiaire
Arlette, arrête. Toi, la fête tu la passes aux toilettes

Stromae, Santé, 2022

Le comte de Monte Cristo avec Pierre Niney, Anais Demoustier, Bastien Bouillon.

Ce film historique dont on connaît tous un peu l’histoire même si on n’a pas lu le roman d’Alexandre Dumas ( comme moi) est un vrai chef d’œuvre. Il dure trois heures mais nous n’avons pas vu le temps passe tant le suspens de l’intrigue a été maintenu du début à la fin. On se prend rapidement d’affection pour le jeune Edmond Dantès. Les scènes de son évasion du Château d’If puis la découverte du trésor de l’abbé Faria sont de superbes moments de cinéma. Dommage que le film n’ait pas été mieux récompensé lors des derniers Césars.

Deux livres pour faire triompher l’espoir malgré l’horreur.

Les filles de Birkenau avec Esther Senot, Ginette Kolinka, Isabelle Choko, Judith Elan-Hervé, éditions Les escales.

J’ai beaucoup aimé ce livre avec une couverture qui montre trois rescapées des camps de la mort dans un jardin bucolique en région parisienne. C’est un livre de dialogue sur leur enfance, leur arrestation, leur quotidien en déportation et leur libération, agrémenté d’albums de photographies. J’ai offert ce livre à mon amie qui a été longtemps médiatrice culturelle dans un musée important pour le devoir de mémoire.

Soeurs de douleur écrit par Samuel Lieven avec Roselyne Hamel et Nassera Kermiche, XO éditions.

J’appréhendais la lecture de ce livre car c’est angoissant de lire la détresse de deux femmes endeuillées au plus profond de leur âme. C’est un livre où l’amour et le pardon gagnent sur le fanatisme. Roselyne Hamel, la sœur de Jacques Hamel, le prêtre qui a été égorgé dans son église par deux jeunes terroristes a souhaité rencontré la femme qui été aussi malheureuse qu’elle : la mère de l’un des terroristes.

Je vous recommande ce livre qui est une leçon de vie sur le pardon. J’ai beaucoup aimé les biographies croisées de ces deux femmes, deux Françaises qui viennent de deux milieux différents et qui vont devenir amies face à l’horreur et le deuil.

Se réfugier dans la richesse des relations familiales : L’attachement, ce si beau film.

En janvier, j’ai beaucoup regardé les interviews d’Anna Roy lors de la sortie de son témoignage Enorme. Elle y raconte son arrêt forcé du sucre qui l’avait surchargée de soixante kilos. J’aime énormément cette sage-femme qui intervient dans La maison des Maternelles. Elle a une voix très douce et une manière vraiment gentille d’apaiser les peurs et les doutes des futures mamans avec ses conseils d’une grande sensibilité.

J’ai beaucoup été touchée par son témoignage et sa vision de son métier de sage-femme. Il y a un superbe film : L’attachement que je n’ai pas eu le temps de voir. Je le garde précieusement dans ma pile à films.

Les rencontres du papotin avec Omar Sy sur France 2

Je ne regarde pas chaque samedi les rencontres du Papotin car il faut vraiment que je sois une fan de l’invité. J’ai beaucoup aimé ces trente minutes d’échange toujours en sincérité et en simplicité entre une personnalité et une trentaine de journalistes porteurs d’handicap mental ou physique. Omar rigolait tout le long avec son rire si contagieux mais il s’est aussi livré avec franchise. C’est toujours un bon moment cette émission, personne ne s’embarrasse avec des faux-semblants.

Un dimanche à la campagne, présenté par Frédéric Lopez avec Manu Payet, Pauline Deroulède et Lara Fabian, France 2.

J’ai beaucoup aimé cette émission en particulier tout comme j’avais aimé la rencontre avec Virginie Grimaldi, Kendji Girac et Dany Boon cet hiver. Manu Payet a raconté à quel point ses parents étaient sacrément sévères avec lui. Il a passé quatre ans dans un pensionnat en Afrique du Sud où il a trouvé sa vocation d’humoriste.

Lara Fabian a vendu plus de 20 millions d’albums dans le monde entier mais elle a beaucoup galéré avant le succès en enchainant les petits boulots pour lutter contre la précarité. Même quand elle est devenue connue, elle a souffert de la moquerie récurrente des Guignols de l’info qui avaient créer une marionnette hurleuse à son effigie.

Et enfin, j’ai découvert Pauline Déroulède, athlète paralympique. A l’âge de 27 ans, elle a été amputée d’une jambe à cause d’un accident. Elle raconte avec beaucoup d’émotion sa rencontre avec la personne âgée responsable de son accident. Elle milite depuis 2019 pour la fin du permis à vie.

Dimanche, j’ai vu des Parisiens qui lézardaient sur les quais de Seine avec un bon livre. J’ai réalisé que c’était une sacré bonne idée de détente à expérimenter ce printemps. J’ai envie de lire sur une chaise transat du jardin du Luxembourg ou des Tuileries au bord d’une fontaine avec un excellent roman…

Romans

Emballée par la couv’ des romans de l’été que je lis en juillet…

En juillet, j’ai cette chance de trouver plusieurs livres d’affilée que je dévore les uns après les autres et en plus leurs couvertures m’inspirent pour lancer une nouvelle rubrique dans le blog.

Cela s’appelle Emballée par la couv’. C’est une petite rubrique sur le marketing et le packaging. Une modeste analyse de ces couvertures qui draguent mon œil sur les tables de librairies ou sur les réseaux sociaux…

Une belle vie, Virginie Grimaldi, Le livre de poche, 384 pages, 11.90€

J’ai lu d’une traite le dernier roman de Virginie Grimaldi : Une belle vie. Le titre n’est pas très recherché mais efficace. Il raconte l’histoire de deux sœurs Agathe et Emma. Elles se sont perdues de vue pendant des années mais elles se donnent rendez vous pour vider la maison de leur grand mère Mima qui les a élevé à Anglet, au pays basque.

Ce roman se structure en chapitres au présent et d’autres au passé. Ils font des sauts dans le temps pour raconter l’enfance et l’adolescence des deux filles. Je trouve que c’est le meilleur roman de Virginie Grimaldi. Il raconte les réussites et les échecs de ces deux sœurs pour renforcer leur lien familial au milieu du deuil et de la maladie. Merci à ma collègue Marine, qui me fournit de bons livres à lire l’été. 

Couronne et préjugés, Sylvie Tellier, Fayard, 23.90€

Tout le monde a rigolé au bureau à la pause déjeuner quand j’ai raconté que j’allais lire la biographie de Miss France. C’est people certes mais c’est un autoportrait tout sauf superficiel. 

Sylvie Tellier raconte son parcours, élevée par une maman célibataire aux Sables d’Olonne dans les années 1970. Ensuite, elle va passer toute une année aux côtés de Geneviève de Fontenay pour vivre son année de Miss alors que la dame au chapeau n’était pas la plus agréable des chaperonnes.

Ce qui m’a plu dans cette autobiographie est sa manière de défendre son bilan de présidente de la société Miss France. Elle explique comment elle a su prendre la succession de Genevieve de Fontenay en modernisant le concours de beauté sans le trahir. J’ai surtout beaucoup aimé la manière dont elle parle de sa mère, son modèle.

Les goûts et les couleurs, film de Michel Leclerc avec Félix Moati et Rebecca Marder, Judith Chemla, Artus, 2022.

Coup de coeur pour ce drôle de couple : le mariage de la carpe et du lapin. Marcia est chanteuse, elle vit sur une péniche à Paris. Anthony est placier sur les marchés à Saint-Remy les Chevreuse.

La musique de Daredjane, icône rock des années 1970 va les réunir. Anthony est son ayant-droit et il aime peu la personnalité de cette grand-tante qui a coupé les ponts avec sa famille.

Un film drôle et mordant sur la lutte des classes, le fossé entre Paris et sa banlieue, un propos qui résonne fort avec le résultat des dernières élections législatives…

Retrouvez ici les précédents articles de blog que j’ai écrit sur les romans de l’été ou bien de l’hiver ou de l’automne…

-Se préparer au mood de l’automne avec ces livres et ces séries

Les livres et les films qui ont animé mes vacances de Noël

Lecture et autres challenges passionnants

Ma pile de livres et de films de cet automne

Cet été, j’avais pris un grand plaisir à écrire cet article. Lire des bons romans et visionner des films est une vraie détente pour moi pour m’évader l’esprit face à cette actualité plus que morose. Alors je continue sur ma lancée.

Je commence par les films car je me régale sur Netflix et grâce à la plateforme Eureka des bibliothèques du Val de Marne, j’ai même envie de retourner au cinéma même si c’est hors de prix.

Le tigre et le président avec Jacques Gamblin et André Dussolier.

Un film avec Jacques Gamblin, j’y vais les yeux fermés. C’est l’un de mes acteurs préférés. Tout son jeu d’acteur se lit sur son visage. D’ailleurs, dans ma dernière sélection de cet été, il y avait Holy Lola, un film dont il est l’acteur principal. Ce film, je suis allée le voir un dimanche matin pendant mon road trip au Touquet.

Il y avait des longueurs mais c’était une bonne réflexion sur le métier de président de la République. Pour une fois, un film porte un regard critique sur Georges Clémenceau. Il était un redoutable animal politique qui a humilié l’Allemagne avec un traité de Versailles drastique en 1920. Je connaissais l’anecdote du président de la République qui était tombé d’un train en pyjama. J’ai découvert le portrait d’un homme qui a sombré dans la folie à cause d’une fonction trop grande pour lui. Il décore à tour de bras des gueules cassées tandis que Suzanne Noël les réparait au lendemain de la première guerre mondiale.

BD A mains nues, tome 1 et 2, Leïla Slimani et Clément Oubrerie, Les arènes

Cette BD était très attendue car elle associait deux talents de BD et de littérature. J’aime vraiment les biographies historiques et cette BD a de nombreux traits communs avec Pablo, la BD dessinée par Oubrerie. J’ai découvert le style de Leïla Slimani qui apporte de la profondeur à cette femme qui a vraiment bousculé les codes.

BD L’adoption,cycle 2 : Wadji, Zidrou et Monin, 16.90€

C’est vraiment mon coup de coeur BD de cet automne. J’aime beaucoup Bambou pour ses BD de société très actuelles. D’abord, c’est un très grand format bien utile pour montrer en grand les émotions contradictoires que ressentent cette famille de bobos lillois qui adoptent un orphelin yéménite de neuf ans.

C’est un petit garçon mais il a vécu des situations extrêmes qui désarçonnent sa nouvelle famille par ses réactions. Il a perdu sa naïveté et son insouciance et on se demande qui arrivera à l’apprivoiser.

Une lecture de toute beauté qui montre les traumatismes psychologiques vécus par les migrants.

Simone, le voyage du siècle, un film d’Olivier Dahan avec Elsa Zylberstein et Rebecca Marder.

C’est le film que j’attendais le plus cette année. J’adore les biopics : Ray, Claude François, La dame de fer sur la vie de Margaret Thatcher. En France, il y a peu de films qui racontent la vie d’une femme politique… J’avais adoré La môme avec Marion Cotillard et j’ai lu plusieurs livres sur la vie exceptionnelle de Simone Veil. Quand elle défie les députés haineux qui essayent de l’intimider, je me dis que c’est un film très utile et familial pour résister contre la haine, le racisme et l’antisémitisme.

Un indien dans la ville de Hervé Palud avec Thierry Lhermitte, Patrick Timsit, Arielle Dombasle, Miou-Miou, 1994

Quel bon moment de comédie de revoir ce film ultra populaire. J’avais oublié à quel point les dialogues étaient comiques. Le thème de ce film c’est de rire des manières radicalement différentes d’élever un enfant. Pas d’adolescence dans la tribu de Mimi Sikku. Comment veux-tu faire obéir un gosse qui part trois jours chasser et manger du barracuda tout seul au coin du feu dans la jungle. Mention spéciale au duo d’acteurs Lhermitte/Timsit…

Série Detox sur Netflix avec Tiphaine Daviot et Manon Azem

J’ai découvert cette série grâce à un magazine féminin et mes deux collègues se sont bien marrées aussi. C’est l’histoire de deux cousines, des trentenaires parisiennes de mon âge qui se vautrent allégrement dans leur vie perso et pro car elles sont accros à leurs écrans.

Même leur cousin de treize ans les considère comme des ratées. J’ai beaucoup aimé le jeu de Tiphaine Daviot qui va loin dans l’excès et la caricature. Elle est ingérable, elle me rappelle Marion dans Scènes de ménages sur M6.

Oh happy day d’Anne-Laure Bondoux et Jean-Claude Mourlevat, éditions Fleuve

C’est la suite du roman épistolaire Et je danse aussi. On retrouve Pierre-Marie et Adeline qui correspondent entre sa campagne drômoise à lui et elle à Toronto. Elle s’est mariée à Ben, un affreux jojo bien flippant qui casse des bras à tour de bras; Haletant ! Une vraie claque littéraire pour moi.

Le charmant cottage d’Amélia, Abby Clements, Pocket

Cet été j’ai bien aimé lire Les divines glaces à l’italienne d’Anna. J’ai trouvé que cette auteure de feel good écrivait avec profondeur et introspection. Il ne faut pas se fier au titre un peu nunuche de ce livre, il raconte un couple qui se délite et se confrontent à ses aspirations différentes quand ils se lancent dans la poursuite de leur rêve : la rénovation d’un cottage loin de Londres qui s’avère être un vrai taudis !

Réveil catholique, emprunts évangéliques au sein du catholicisme, Valérie Aubourg, Labor et Fides

Cet essai de sociologie m’a bien plu car il parle de pas mal de communautés spirituelles en France que je connais et comment elles prouvent que croire en Jésus en 2022 est loin d’être ringard et désuet. Depuis, j’ai découvert le compte Instagram d’Albertine de Baecker et les chansons de Vinz le Mariachi, deux catholiques qui vivent leur foi avec intensité et authenticité.

Les livres pour enfants

Gâteaux kids écrit par Juliette Lalbaltry, éditions Larousse, 9.95€

Ce livre, je l’ai découvert dans Le blog de Néroli et dans le journal gratuit 20 minutes. Je n’ai pas plus que ça envie de réaliser les recettes car les bonbons chimiques m’écœurent vite mais j’aime beaucoup regarder ce livre pour son esthétique très Instragramable ! J’aime beaucoup leur mise en scène.

Petit robot vert, Miguel Lalor, éditions Scriptura, 15€

Cet album pour les enfants à partir de 5 ans nous questionne sur notre rapport à la performance pour évaluer notre valeur. J’ai ce défaut de vouloir produire pour me prouver ce que je vaux. Plus qu’un album pour enfants, il questionne les parents sur le sens que l’on donne à ce que l’on fait. Ce livre propose une vraie réflexion philosophique.

Les réels d’Alizon sur Instragram

Cette petite nana blonde de Bordeaux je l’ai découverte par hasard sur Instagram. Ses réels de Docteur Black out ou quand elle se prend pour un commissaire de la brigade féline pour auditionner son enfant, me font hurler de rire. Mieux, ils me donnent le sourire quand le temps est bien morose. Je suis assez atterrée par les messages de rageux haters qui s’en prennent à elle car ils sont envieux. Elle fait un sacré boulot de montage et de mise en scène pour ses vlogs de voyage et ses tranches de vie. Je pense qu’elle a un bel avenir dans le stand-up !

C’ à vous animé par Babeth Lemoine et son équipe sur France 5 : Pierre Lescure, Bertrand Chameroy, Emilie Tran Nguyen…

Cette émission quotidienne est devenue le rendez-vous incontournable des chanteurs, hommes politiques ou acteurs quand ils font de la promotion ou la une de l’actualité. Je trouve qu’il y a un bon esprit dans cette bande, c’est convivial de diner avec ces chroniqueurs qui sont authentiques. On se croirait vraiment dans un vrai diner entre amis avec ses blagues, les grands éclats de rire de Babeth qui mettent à l’aise. J’ai remarqué que le cameraman faisait souvent un plan sur les jambes de Babeth en micro short et escarpins. Pas de quoi crier au sexisme non plus !

Dans un autre genre, comme Stromae, j’aime regarder Ca commence aujourd’hui, l’émission de Faustine Bollaert. Une émission lui a inspiré une chanson Fils de joie.